Voila des poesies de quelqu'un que je connais.
La Lune
Au coeur de la nuit brille une lumière,
D'abord fébrille, puis forte comme du fer,
C'est la lune, qui n'est qu'a sont tiers,
Mais qui malgré tout, sera entière
Toi qui voyage mes rêves,
Vois donc arriver ton apogée,
Car quand le soleil n'est pas sa fève,
Le ciel est par toi illuminé,
Les lumières se font pâles,
Quand tu sors ton blanc châle,
Car pendant la nuit étoilée,
C'est toi qui a toujours régné.
Au coeur de la nuit brille une lumière,
Forte comme du fer, pâle comme la mer,
C'est la lune, qui n'est qu'a sont deuxième tiere,
Mais qui malgré tout, reste entière
Je suis maintenant dans la longue nuit,
Des songes et du cauchemar,
Mais je sais que tu veille sur moi jusqu'ici,
Oui, tu veilles jusqu'au plus tard,
La ou reigne l'ombre et le noir,
Et ton étedentue, qui commence au soir,
Ne s'en finit jamais, telle une mare,
Que rien ne briserait, pas même du ciel le miroir.
Au coeur de la nuit brille une lumière,
Pâle comme la mer, puis ombre sur terre,
C'est la lune, qui est a sont sont dernier tiers,
Mais qui malgré tout, disparaitrat de son aire.
Toi qui doit partir maintenant,
Ne te fais pas de mauvais sang,
Car demain tu sera la,
Heureuse tu reparaitrat,
Toujours tu est destinée,
A, sur la nuit, regner pour l'éternité,
Pendant le jour, je ne vais pas désespérer,
Car demain tu sera la, mon aimée!
Lune, Lune, Lunis, Lunos,
Que les hommes te donnent de noms,
Lune, Lune, Lunis, Lunos,
Mais toujours pour moi tu sera un don!
Le Petit Homme
Claquent vents et marées
Sous les cieux rougeoyants
Meurent les vagues affolées
Dans le jour naissant
Ce petit homme rablé
Regardait attentivement
Sa jambe sur le sol couché
Qui se couvrait lentement
Une pierre qui n'existait pas
C'était la malédiction qui pesait
Sur le pouvoir de ceux-la
Qui malheureusement y croyaient
Le petit homme avait abusé
De trops grands privilèges
Et devait maintenant payer
Tous ses beaux sortilèges
Alors que la matière sombre
Courait le long de sa cuisse
Il revécut toute sa vie
Et sentit de sa mort les prémices
La rumeur avait chanté a ses oreilles
Que les hommes qui furent les plus grands
Dans la mort de repos jamais n'aillent
Car leur destin était encore langissant
La punition de l'ambition était sur lui
Quelle pire honte pour ce petit malchanceux
Qui avait juste désiré être respecté par autrui
Et qui avait touché aux pouvoirs infectueux
Voila la pierre qui atteignaient ses épaules
Il sentait sa consience lentement s'éteindre
Et alors que le roc entrait en son sein
Il voulut hurler et se plia comme un saule
Quand son coeur fut par le noir étreint
Et qu'il voulut encore hurler sa fin
Soleil
Sens mon souffle dans ton cou
Apprécie cette flamme sans chaleur
Carrese cet espoir pour nous
Et voit donc approcher l'heure
L'aube va bientot vouloir se lever
Pourquoi as-tu si peur des lumières?
L'horizon découvre alors le soleil enflammé
Pourquoi cries-tu dans les airs?
Je vois alors ta peau si douce
Qui commence a se couvrir d'un voile
Léger et friable comme de la mousse
Mais qui t'enveloppe mieux qu'une toile
Cette parure diaphane me faisait penser
Aux ailes d'une ephèmere dans la nuit
Mais le matin se lève sur la matinée
Et te brisera tout comme moi ici
Nous sommes deux maintenants et a présent
Dans le ciel et si près de tous les nuages
Dans la lumière que nous affrontames courageusement
Pour finalement avoir étés libérés de l'orage
Nous aurons vu la lumière dont on ne revient pas
Cet orbe auréolé de feu et de flammes
Qui dansait dans le ciel il y a longtemps
Qui dansera encore et toujours pour nous
Nous qui aurons vu son coeur et sa trame
Et qui en auront payé le prix terrifiant
L'Epee
Cogne le fer
Mord la chair
Fracasse la terre
Va en enfer!
Je suis ton reve
Et ton pire cauchemar
La ou le soleil se leve
Je vit tel un phare
Lame d'acier
D'un fil aiguisé
Poignée enchantée
Destinée a tuer!
Egorge les enfants
Détruit les parents
Le père en tuant
La mère en brulant!
On m'a dit souvent
Que j'était maléfique
Malheureusement
Pronomcez "hérétique!"
On m'a donné de noms
Des milliers et nombreux
Mais pour le bon
Ca n'était qu'un jeu
La grande et terrible Durandal
Venant des profonds vals
La magnifique Excalibur
Qui ouvre tout les murs!
J'ai servit les plus fort
Comme Arthur le roi
Mais sans mon beau corps
Il n'auraient ni foi ni loi!
Je suis la lame noire
Et l'épée de justice
Vendue sur une foire
Et brise les maléfices!
Donnée au tac-o-tac
J'en ai marre des idiots
Revois la dame du lac
Et rend le dernier mot
Forgée par la nation
Des lutins saxons
Des futur-moribonds
Bénis soit leurs noms!
Je suis ton pere
Ta mere et ton frere
Va voir Lucifer
Va bruler en enfer!